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concerto à quatre mains
25 mai 2020

S'il vous plaît !

S’il vous plaît, Ma Dame, montrez-moi l’amoureuse  qui vit en vous.

Je ne sais plus le cacher, maintenant je l’avoue.

Je vous en prie, ouvrez un peu le compas de vos jambes.

2bonnes soeurs

Ne sentez-vous pas à quel point je flambe ?

S’il vous plaît,  montrez-moi l’indécente qui sommeille en vous.

Imaginez-vous ce que serait notre première fois ?

Vous chez vous, moi ici. Ou ailleurs. Dans les bois.

S’il vous plaît, Ma Mie, je voudrais jouer un peu, beaucoup, passionnément

Souffler sur les braises qui sommeillent en vous.

Me sentez-vous approcher de vous,

Prêt aux plus doux méfaits que je vous ai promis ?

S’il vous plaît, mon Ariane, laissez vos cuisses ouvertes,

Montrez-moi  votre source sans artifice.

Vous rappelez-vous la rose que je vous ai offerte ? 

rosenoire

                      

Je l’avais dénudée de ses épines pour qu’elle ne vous blesse ;

Prenez-la, je vous en prie, en imaginant mes caresses :

Depuis un moment de bonheur, je vous caresserai
Vous gémirez doucement, Ma Dame, de vos désirs en liesse 

La rose rouge sera le prolongement de mes doigts
Déjà vous allez sombrer dans l'indécence,

Les pétales fous glissant sur la soie de vos cuisses
vous feront écarter incroyablement vos jambes.
Fi de toute retenue, moralité et de pudeur
vous serez ouverte comme une petite fleur

Par la grâce coquine de cette fleur
Et, Ma Dame, vous m'offrirez la vision de votre intimité
De vos lèvres roses et de votre bouton d’amour érigé.

                          

Vous rappelez-vous comment vous aviez imaginé reprendre la main 

En sachant pourtant que ce petit jeu serait vain ?

S’il vous plaît, Ma Dame, continuez à vous donner les mêmes caresses,

Je vous offre le plaisir de mon regard posé sur vous,

Mais il est temps, grand temps, de dénuder aussi vos pigeons,

Non, ne dîtes rien, je sais que vous aimeriez prendre le dessus,

Il n’en est pas temps puisque nous en sommes à vos dessous… !

 

Glisser en vous, Ma Dame, entre vos cuisses, aux interstices de vos pensées,

L’idée de mes regards électrise votre être, en votre for convulsée,

La caresse des pétales attisera votre impudeur et votre plaisir,

Vos yeux caresseront la tige de notre rose, vous les fermerez avec un soupir,

Songeant à la mienne, fière, que vous aimeriez contempler dressée à loisir.

Les pétales au bord de votre corolle effleureront votre humide toison,

Vos doigts caresseront rêveusement la tige douce et souple.

Oui, gardez les cuisses ouvertes, montrez-moi la source, ne me cachez rien.

                          

Fermez les yeux, Ma Dame.

Donnez-moi la rose, mignonne, que j’aille voir…

Une main sur votre hanche, je me glisse plus près de vous.

Je place tes jambes sur les accoudoirs du fauteuil. Ta respiration s’accélère.

Montre-moi ton intime, Ma Mie, offre-moi l’abandon de ton intimité.

L’émotion m’étreint sans doute autant que toi à voir tes seins ronds palpiter.

Ma main glisse les pétales humides sur la fleur de tes seins.

homobserve

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Commentaires
A
Le feu des envies pour un peu me gagnerait! les dames vous inspirent
Répondre
M
quelle invitation !
Répondre
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